Ici, il n'est jamais question de nier ("mais non, ce n'est rien !").
Au contraire, accepter que nos enfants aient peur, et leur permettre d'en parler, de le dessiner...offre la possibilité de "transformer" le cauchemar pour dépasser la peur qu'il inspirait.
"Camille a fait un cauchemar"
Camille se réveille en sursaut, elle a peur. Elle appelle son papa et sa maman, qui viennent tout de suite pour la rassurer. Ils lui expliquent qu'elle a fait un cauchemar. Ce cauchemar n'existe pas dans la réalité, mais comme il existe dans la tête de Camille, ils lui proposent de le dessiner.
"Il y a un cauchemar dans mon placard"
Tout est dit ! Il y a un cauchemar dans mon placard, un vrai de vrai...avec des yeux, des oreilles et un nez ! Il n'est pas très beau, mais un peu rigolo...J'ai bien essayer de le chasser, mais il ne veut rien entendre, et risque de réveiller papa et maman... Quelle sera la solution de ce petit garçon ? Mystère...
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