Pourtant mes enfants, les enfants que je vois au cabinet, réclament et méritent notre parole. Certains ont peur et le disent, d'autres ont peur mais n'osent pas en parler, d'autres encore ne réalisent pas... Certains se révoltent, d'autres sont plus fatalistes et ne savent tout simplement pas comment réagir...
Chacun d'entre nous réagit à sa façon, "avec ses tripes" dans un premier temps.
Alors...quand, comment et pourquoi parler à nos enfants de cette barbarie subie il y a quelques jours ?
Je vous propose un début de réflexion et peut-être une piste pour libérer la parole et se re-connecter, en relayant un texte écrit par Isabelle Filliozat à ce sujet.

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